Sabtu, 01 Maret 2014

Saint-Cloud Paris Bagnolet, Montreuil, Saint-Mandé, Vincennes, Fontenay-sous-Bois, Nogent-

0 komentar

Communes limitrophes de Paris
Clichy,
Levallois-Perret,
Neuilly-sur-Seine    Saint-Ouen, Saint-Denis, Aubervilliers    Pantin,
Le Pré-Saint-Gervais,
Les Lilas
Puteaux,
Suresnes,
Saint-Cloud    Paris    Bagnolet, Montreuil, Saint-Mandé, Vincennes, Fontenay-sous-Bois, Nogent-sur-Marne
Boulogne-Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Vanves    Malakoff, Montrouge, Gentilly, Le Kremlin-Bicêtre    Joinville-le-Pont, Saint-Maurice, Charenton-le-Pont, Ivry-sur-Seine
Topographie[modifier | modifier le code]


Point zéro des routes de France, devant la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Au milieu du Bassin parisien, deux îles sur la Seine constituent le cœur historique de Paris : l'île de la Cité, la plus à l'ouest et l'île Saint-Louis, la plus à l'est. La ville s'étend de part et d'autre du fleuve, sur une superficie environ deux fois supérieure au nord, sur la rive droite, à celle au sud, sur la rive gauche.
Plusieurs reliefs composés de buttes-témoin gypseuses forment de petites colliness 1 : sur la rive droite Montmartre (131 m), Belleville (128,5 m), Ménilmontant (108 m), les Buttes-Chaumont (103 m), Passy (71 m) et Chaillot (67 m) ; sur la rive gauche Montparnasse (66 m), la Butte-aux-Cailles (63 m) et la Montagne Sainte-Geneviève (61 m). Paris intra-muros, délimitée de fait en 1844 par l'enceinte de Thiers, puis administrativement en 1860 par l'annexion de communes ou de leurs quartiers, est aujourd'hui séparée de ses communes limitrophes par une frontière artificielle4, le boulevard périphérique, voie rapide urbaine de 35 km. Les accès routiers se font par les portes de Paris ou par les routes et autoroutes qui rejoignent cette rocade, dont la couverture progressive permet de mieux ouvrir Paris à son agglomération.
Au-delà de l'enceinte de Thiers, deux grands espaces boisés ont été aménagés par le baron Haussmann, préfet de la Seine de 1853 à 1870, sur des communes voisines, avant d'être rattachés à Paris en 1929 : à l'ouest, le Bois de Boulogne (846 hectares, 16e) et à l'est, le Bois de Vincennes (995 hectares, 12e), ce qui porte le périmètre de la ville à 54,74 km. Paris s'étend également sur l'héliport (15e arrondissement). Plus anecdotique, depuis 1864, la ville de Paris est propriétaire du domaine entourant les sources de la Seine5, à 231 km de la ville.
La superficie de la ville de Paris est deb 5 105,40 km2 (113e rang des communes de France métropolitaine), celle de son unité urbaine de 2 845 km2, rassemblant 10 354 675 habitants en 2008 répartis, en 2010, dans 412 communes d'Île-de-Franceb 6.
Le point zéro des routes de France est matérialisé par une dalle située devant Notre-Dame de Paris.
[read more..]

le pays et tendent à y concentrer les institutions. Depuis les années 1960, les politiques

0 komentar

Les communes françaises possédant l’altitude maximale la plus haute sont Chamonix-Mont-Blanc (Haute-Savoie, 9 830 habitants) et Saint-Gervais-les-Bains (Haute-Savoie, 5 276 habitants), qui culminent au sommet du mont Blanc à 4 807 m (en prenant en compte la position française sur la frontière franco-italienne dans la région).
La commune dont les zones habitées sont les plus élevées sont Saint-Véran (Hautes-Alpes, 267 habitants), dont le territoire s’étend entre 1 756 et 3 175 m d’altitude ; le village est étagé de 1 950 m à 2 040 m. Depuis l'engloutissement du village dans le lac du Chevril et sa reconstruction plus haut, Tignes, situé à 2 100 m peut aussi être considéré comme la plus haute commune de France.
La commune dont l'altitude moyenne est la plus élevée (2 701 mètres) est Bonneval-sur-Arc (Savoie)58.
La commune française la plus basse est Les Moëres (Nord, 670 habitants), dont une partie du territoire est située au-dessous du niveau de la mer, jusqu’à -4 m.
La commune française la plus éloignée de Paris est l’Île des Pins (1 671 habitants) en Nouvelle-Calédonie, à 16 841 km de la capitale. Sur le territoire métropolitain, il s’agit de Bonifacio (2 831 habitants), située à 986 km.
La commune la plus au nord est Bray-Dunes, Nord.
Les communes les plus à l’ouest sont :
Sur le territoire continental : Plouarzel (Finistère)
En France métropolitaine : Ouessant (Finistère)
Sur la totalité du territoire : Rimatara (Polynésie française)
Les communes les plus à l’est sont :
Sur le territoire continental : Lauterbourg (Bas-Rhin)
En France métropolitaine : Aléria (Haute-Corse)
Sur la totalité du territoire : Maré (Nouvelle-Calédonie)
Les communes les plus au sud sont :
Sur le territoire continental : Lamanère (Pyrénées-Orientales)
En France métropolitaine : Bonifacio (Corse-du-Sud)
Sur la totalité du territoire : Rapa (Archipel des Australes en Polynésie française)
Nom[modifier | modifier le code]

Panneau indiquant la sortie de la commune d’Y.
Les communes françaises possédant le nom le plus long sont Saint-Remy-en-Bouzemont-Saint-Genest-et-Isson (Marne, 592 habitants, 45 signes), Saint-Germain-de-Tallevende-la-Lande-Vaumont (Calvados, 1 731 habitants, 44 signes) et Beaujeu-Saint-Vallier-Pierrejux-et-Quitteur (Haute-Saône, 739 habitants, 43 signes) et possèdent toutes les trois 38 lettres. Si l'on ne prend que les noms formé d'un seul tenant, les communes au nom les plus long sont Niederschaeffolsheim et Mittelschaeffolsheim avec 20 lettres (les deux sont situées dans le Bas-Rhin). La commune française avec le nom le plus court est Y (Somme, 89 habitants). 15 communes possèdent un nom de deux lettres (Ay, Bû, By, Eu, Fa, Gy, Oô, Oz, Py, Ri, Ry, Sy, Ur, Us et Uz).
La première commune par ordre alphabétique est Aast (Pyrénées-Atlantiques, 190 habitants). La dernière commune par ordre alphabétique est Zuytpeene (Nord, 469 habitants).
Il existe 3 927 communes qui commencent par « Saint » (10,7 % des communes françaises), y compris Le Saint. Le « Saint » le plus courant est Saint-Martin (222 communes), suivi de Saint-Jean (170 communes) et Saint-Pierre (155 communes). 471 autres communes possèdent le terme « Saint » à l’intérieur de leur nom. Seulement 4 préfectures (dont 1 d'outre-mer) commencent par « Saint » : Saint-Brieuc, Saint-Étienne, Saint-Lô, Saint-Denis.
Il existe 334 communes qui commencent par « Sainte » (0,9 % des communes françaises), y compris Saintes59. La sainte la plus courante est Sainte-Marie (40 communes, y compris Saintes-Maries-de-la-Mer), suivie de Sainte-Colombe (27 communes) et Sainte-Croix (25 communes). 62 autres communes possèdent le terme « Sainte » à l’intérieur de leur nom.
Les noms des communes sont généralement d’origine française ou ont été francisés (comme Toulouse de l’occitan Tolosa, Strasbourg de l’allemand Strassburg ou Perpignan du catalan Perpinyà). Certaines communes conservent cependant le nom de leur langue d’origine, par exemple :
Paris (prononcé [pa.?i] Prononciation du titre dans sa version originale Écouter) est la commune la plus peuplée et la capitale de la France, le chef-lieu de la région Île-de-France et l'unique commune-département du pays. Elle se situe au centre du Bassin parisien, sur une boucle de la Seine, entre les confluents de celle-ci avec la Marne et l’Oise. Ses habitants s’appellent les Parisiens. La ville est divisée en vingt arrondissements.
D’après le recensement de l’Inseeb 1, la commune de Paris comptait au 1er janvier 2010 plus de 2,2 millions d'habitants. L'agglomération de Paris s’est largement développée au cours du xxe siècle, rassemblant 10,5 millions d'habitants au 1er janvier 2010b 2, et son aire urbaine (l’agglomération et la couronne périurbaine) comptait environ 12,2 millions d'habitants au 1er janvier 2010b 3. Elle est l'une des agglomérations européennes les plus peuplées.
La position de Paris, à un carrefour entre les itinéraires commerciaux terrestres et fluviaux et au cœur d’une riche région agricole, en fait une des principales villes de France au cours du xe siècle, avec des palais royaux, de riches abbayes et une cathédrale ; au cours du xiie siècle, Paris devient un des premiers foyers en Europe pour l’enseignement et les arts. Le pouvoir royal se fixant dans cette ville, son importance économique et politique ne cesse de croître. Ainsi, au début du xive siècle, Paris est la ville la plus importante de tout le monde chrétien. Au xviie siècle, elle est la capitale de la première puissance politique européenne, au xviiie siècle le centre culturel de l’Europe et au xixe siècle la capitale des arts et des plaisirs. Paris joue donc un rôle politique et économique majeur dans l’histoire de l'Europe au cours du IIe millénaire. Symbole de la culture française, abritant de nombreux monuments, la ville attire dans les années 2000 près de trente millions de visiteurs par an1. Paris occupe également une place prépondérante dans le milieu de la mode et du luxe ; c'est aussi la capitale la plus visitée au monde.
La ville est, avec sa banlieue, la capitale économique et commerciale de la France, ainsi que sa première place financière et boursière. La région parisienne, avec un produit intérieur brut (PIB) de 607 milliards d'euros (845 milliards de dollars) en 2011b 4, est un acteur économique européen majeur. Elle est la 1re région européenne en termes de PIB régional2 et 6e en termes de PIB par habitant PPA3. La densité de son réseau ferroviaire, autoroutier et sa structure aéroportuaire, plaque tournante du réseau aérien français et européen, en font un point de convergence pour les transports internationaux. Cette situation résulte d’une longue évolution, en particulier des conceptions centralisatrices des monarchies et des républiques, qui donnent un rôle considérable à la capitale dans le pays et tendent à y concentrer les institutions. Depuis les années 1960, les politiques gouvernementales oscillent toutefois entre déconcentration et décentralisation.
Sommaire  [masquer]
[read more..]

sont les équipements sportifs, culturels et de loisirs (308 kWh/m2, soit 28 %) et les maisons de

0 komentar

Les communes, à travers l'aménagement du territoire, l'éclairage public, et leurs incitations à mieux construire, se déplacer et consommer ont un rôle important en matière de gestion et économie de l'énergie. En France, dans les années 2000, les bâtiments que les communes doivent entretenir, chauffer, éclairer etc. représentent 75 % de la consommation d’énergie des communes (21 milliards de Kwh en 2005). L’éclairage public et la signalisation viennent juste derrière. 4 % (en moyenne) du budget de fonctionnement des communes sont des dépenses en gaz, fioul et électricité.
En 200556 1,5 milliard d’euros ont été dépensés pour éclairer (éclairage public principalement), chauffer et alimenter les matériels électriques du patrimoine communal, c'est 26 % de plus qu'en 2000, alors que l’accroissement des consommations s’élevait à 7,3 %.
L'éclairage public et les véhicules des collectivités (dont intercommunalités, départements et régions) ont nécessité environ 50 €/an par habitant. En 2009, le parc bâti devant être entretenu par les collectivités était de plus de 280 millions de m2 57, avec une forte prépondérance des bâtiments scolaires au sein de ce patrimoine. Ces derniers comptent pour 149,2 millions de m2 (53 % du parc des collectivités), alors que les équipements de sports, loisirs et culture comptent pour 16 % et ceux de l’action sociale pour 13 %57. Les locaux (bureaux, salles de mairies, etc.) même des collectivités ne comptent que pour 10 %57. Par contre en termes de consommation d'énergie par mètre carré, ce sont les équipements sportifs, culturels et de loisirs (308 kWh/m2, soit 28 %) et les maisons de retraite (242 kWh/m2, soit 22 % du total des dépenses énergétique des collectivités) qui consomment le plus, devant les bâtiments scolaires (145 kWh/m2, 13 %), les bureaux des collectivités (193 kWh/m2, 17 %) et l'action sociale (227 kWh/m2, 20 %)57. Les communes jouent en outre un rôle d'exemple pour les habitants.
Elles doivent décliner à leur échelle au Facteur 4 (réduction par 4 des émissions de gaz à effet de serre avant 2050) et à l'objectif intermédiaire de la loi Grenelle I du « 3 fois 20 » :
- 20 % d'émissions de CO2 (rapport à 1990 et avant 2020)
20 % d’économies d’énergie
20 % d’énergies renouvelables.
Divers[modifier | modifier le code]

Superficie[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Liste de communes françaises par superficie.
La taille moyenne d’une commune de France métropolitaine est de 14,88 km2. La taille médiane des communes de France métropolitaine n’est que de 10,73 km2, à cause du nombre élevé de communes de faible superficie (là encore, la France fait figure d’exception en Europe : en Allemagne, la taille médiane des communes de la plupart des Länder est supérieure à 15 km2, en Italie elle est de 22 km2, en Espagne 35 km2, en Belgique 40 km2). Plus de 15 000 communes s’étendent sur 2,5 à 10 km2. Dans les départements d’outre-mer, les communes sont généralement plus grandes qu’en France métropolitaine et peuvent regrouper des villages relativement distants.
La commune la plus étendue est Maripasoula (Guyane, 5 545 habitants) avec 18 360 km2. Sur le territoire métropolitain, Arles (758,93 km2) et les Saintes-Maries-de-la-Mer (374,45 km2), toutes les deux dans les Bouches-du-Rhône, sont les deux communes les plus étendues. La plus petite commune est Castelmoron-d'Albret (Gironde, 62 habitants) avec 0,0376 km2. Plessix-Balisson (0,08 km2, Côtes-d'Armor, 83 habitants, entièrement enclavée dans Ploubalay) et Vaudherland (0,09 km2, Val-d'Oise, 88 habitants) sont les deux autres communes les plus petites.
Extrêmes géographiques[modifier | modifier le code]
Altitude la plus haute :
[read more..]